L’épidémie de COVID-19 nous montre à quel point il est important de réagir rapidement aux maladies infectieuses dans un monde aussi interconnecté que le nôtre.
Le CRDI investit dans le développement de données probantes, les innovations et les politiques ayant pour but d’améliorer la santé et de prévenir les maladies chroniques au moyen de systèmes alimentaires plus sains dans les pays à revenu faible et à revenu intermédiaire.
Dans le Triangle du Nord de l’Amérique centrale, une région ravagée par la violence des gangs et considérée comme l’une des plus violentes du monde, Glasswing International s’attaque aux facteurs complexes associés à la jeunesse, à la violence et à la pauvreté.
Un examen approfondi de la violence juvénile permet de dégager diverses solutions pour prévenir la criminalité, notamment des ressources de soutien en santé mentale, le renforcement de la confiance au sein de la collectivité, le maintien des jeunes à l’école et la création de possibilités d’emploi.
Les taux d’homicide ont grimpé en flèche chez les jeunes au Guatemala, au Honduras, en El Salvador et au Mexique – et en particulier chez les jeunes âgés de 15 à 24 ans, une étape de la vie à laquelle ils devraient être en train de terminer leurs études secondaires et d’intégrer le marché du travail.
Un réseau de recherche sur les politiques relatives aux télécommunications joue un rôle de premier plan pour ce qui est d’influer sur les politiques en matière de technologies de l’information et de la communication (TIC) favorables aux pauvres en Amérique latine. En effet, les travaux de recherche menés par le réseau Diálogo Regional sobre la Sociedad de la Información (dialogue régional sur la société de l’information), ou DIRSI, ont exercé une influence décisive en enrichissant les connaissances et en fournissant une assise de données probantes pour de nombreuses réformes des politiques du secteur des télécommunications dans divers pays d’Amérique latine.
Pour que les processus de consolidation de la paix entraînent des retombées durables, la transition menant au rétablissement de la sécurité après un conflit doit être soigneusement planifiée et comporter une dimension participative. Une telle transition implique souvent une reconfiguration de toute la structure de sécurité et la nécessité de réintégrer les anciens combattants et de restructurer l’armée et les services de police.