Face à la pandémie de COVID-19, le besoin d’innovations permettant d’améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle est encore plus pressant qu’auparavant.
La distanciation physique et le verrouillage économique visant à empêcher la propagation de la pandémie de COVID-19 ont modifié la vie quotidienne et la façon dont les gens interagissent dans le monde entier.
Le chômage des jeunes est un problème chronique dans toute l’Afrique subsaharienne, où une part importante des jeunes sont au chômage et ne suivent ni formation ni éducation.
CultiAF misera sur les succès de la première phase du partenariat et comprendra le développement de nouvelles innovations résistantes aux changements climatiques et adaptées aux sexospécifités destinées aux petits exploitants agricoles.
La septicémie hémorragique est une maladie bactérienne aiguë et souvent mortelle touchant principalement les bovins et les buffles en Asie et en Afrique.
Des millions de personnes, et surtout les femmes, vivent avec un sentiment profond d’insécurité et font chaque jour l’expérience de la violence sous une multitude de formes très pénibles.
De 2006 à 2012, 212 organismes ont participé à des projets de recherche subventionnés par le programme Adaptation aux changements climatiques en Afrique (ACCA), et 89 % d’entre eux étaient des organismes africains. Comme il n’y avait guère d’établissements africains qui se penchaient sur les questions reliées aux changements climatiques avant la création d’ACCA, on estime que c’est là une réalisation importante de ce programme : une solide assise d’expertise africaine en exécution de recherches sur l’adaptation aux changements climatiques et en communication des résultats obtenus. Grâce au financement et au mentorat que leur a offerts ACCA et aux possibilités que le programme leur a données de travailler avec des experts reconnus sur le plan international, ces établissements et les chercheurs qui y oeuvrent jouissent maintenant de la reconnaissance des collectivités et des gouvernements d’Afrique et d’ailleurs, et l’on s’adresse à eux pour obtenir de l’information sur les interventions, les programmes et les politiques en matière d’adaptation.
Le Zimbabwe enregistre toujours des taux de pauvreté et de chômage élevés. Le CRDI appuie les travaux de l’Institute of Environmental Studies (IES) de l’Université du Zimbabwe, qui étudie les multiples facettes des défis que le pays est appelé à relever et suscite des débats et des idées sur la reconstruction et le développement. L’équipe de recherche a réalisé une enquête de référence sur la pauvreté, le bien-être et les inégalités au Zimbabwe, et a oeuvré au renforcement des capacités des chercheurs de l’IES et à la consolidation de leur contribution au redressement économique et à la croissance.
Des séchoirs à fruits et à légumes fonctionnant à l’énergie solaire aident les résidents de villages reculés du sud‑est du Bhoutan à accroître leur sécurité alimentaire et à améliorer leurs moyens de subsistance, ceux-ci vivant de la vente de leurs produits.
Compte tenu du taux élevé de chômage qui sévit dans le secteur structuré d’une grande partie de l’Afrique, l’économie non structurée est devenue une source essentielle de revenus pour les ménages pauvres des zones urbaines. Bien que les migrants qui se trouvent dans les villes de l’Afrique australe ou qui en proviennent jouent un rôle déterminant au sein du secteur non structuré, les chercheurs et les responsables de politiques sous-estiment souvent leur rôle ou l’ignorent totalement.