Face à la pandémie de COVID-19, le besoin d’innovations permettant d’améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle est encore plus pressant qu’auparavant.
La distanciation physique et le verrouillage économique visant à empêcher la propagation de la pandémie de COVID-19 ont modifié la vie quotidienne et la façon dont les gens interagissent dans le monde entier.
Le chômage des jeunes est un problème chronique dans toute l’Afrique subsaharienne, où une part importante des jeunes sont au chômage et ne suivent ni formation ni éducation.
CultiAF misera sur les succès de la première phase du partenariat et comprendra le développement de nouvelles innovations résistantes aux changements climatiques et adaptées aux sexospécifités destinées aux petits exploitants agricoles.
Dans de bonnes conditions, les technologies numériques peuvent favoriser l’atteinte des cibles prévues dans les objectifs de développement durable (ODD) d’ici 2030 en stimulant la croissance économique, et en permettant d’améliorer la gouvernance et d’obtenir de meilleurs résultats dans les domaines de l’éducation et de la santé.
Des millions de personnes, et surtout les femmes, vivent avec un sentiment profond d’insécurité et font chaque jour l’expérience de la violence sous une multitude de formes très pénibles.
En prenant part aux activités d’une coopérative agricole d’Amman, en Jordanie, des femmes ont acquis des compétences en finances, ce qui leur a permis d’améliorer leurs conditions de vie. L’article Developing Value Chains in Amman, Jordan, écrit par Salwa Tohme Tawk, Ziad Moussa, Shadi Hamadeh et Diana Abi Saiid, décrit la manière dont la coopérative a permis à ces femmes de participer activement à ses activités commerciales et agricoles et d’ainsi développer de précieuses aptitudes.
L’agriculture urbaine locale offre une solution à l’insécurité alimentaire, affirment des chercheurs financés par le CRDI dans un article que le Centre international de hautes études agronomiques méditerranéennes a publié dans sa Lettre de veille de septembre 2011.
En dépit des réformes, les marchés du travail des pays de la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord (MOAN) n’ont pas été en mesure d’absorber la hausse du nombre de chercheurs d’emploi. Les femmes et les jeunes instruits sont particulièrement vulnérables au taux de chômage élevé. Cependant, on ne dispose pratiquement pas de données sur l’entrepreneuriat et le secteur privé dans la région.
De 2006 à 2012, 212 organismes ont participé à des projets de recherche subventionnés par le programme Adaptation aux changements climatiques en Afrique (ACCA), et 89 % d’entre eux étaient des organismes africains. Comme il n’y avait guère d’établissements africains qui se penchaient sur les questions reliées aux changements climatiques avant la création d’ACCA, on estime que c’est là une réalisation importante de ce programme : une solide assise d’expertise africaine en exécution de recherches sur l’adaptation aux changements climatiques et en communication des résultats obtenus. Grâce au financement et au mentorat que leur a offerts ACCA et aux possibilités que le programme leur a données de travailler avec des experts reconnus sur le plan international, ces établissements et les chercheurs qui y oeuvrent jouissent maintenant de la reconnaissance des collectivités et des gouvernements d’Afrique et d’ailleurs, et l’on s’adresse à eux pour obtenir de l’information sur les interventions, les programmes et les politiques en matière d’adaptation.
Le Zimbabwe enregistre toujours des taux de pauvreté et de chômage élevés. Le CRDI appuie les travaux de l’Institute of Environmental Studies (IES) de l’Université du Zimbabwe, qui étudie les multiples facettes des défis que le pays est appelé à relever et suscite des débats et des idées sur la reconstruction et le développement. L’équipe de recherche a réalisé une enquête de référence sur la pauvreté, le bien-être et les inégalités au Zimbabwe, et a oeuvré au renforcement des capacités des chercheurs de l’IES et à la consolidation de leur contribution au redressement économique et à la croissance.
Des chercheurs ont évalué la qualité de l’eau distribuée dans deux établissements spontanés, l’un au Liban et l’autre en Jordanie. Ils ont réalisé des tests pour comparer la qualité de l’eau fournie par les deux municipalités et celle de l’eau embouteillée. Leur conclusion : selon leurs tests, il n’y a pas de différence majeure entre la qualité des deux types d’eau; toutefois, la marque et les conditions d’entreposage influent sur la qualité de l’eau embouteillée.