Résultats de recherche

La Guinée et la République démocratique du Congo sont deux pays fortement affectés par des maladies à potentiel épidémique.

Au cours des trois dernières décennies, la rétention et la réussite des filles dans les écoles d’Afrique ont représenté des priorités absolues des plans des gouvernements et des organismes de développement mondial.

Les pays africains sont confrontés à une myriade de défis éducatifs, notamment un nombre insuffisant d'enseignants qualifiés.

L’accès à l’école, la réussite scolaire et l’achèvement de la scolarité sont des défis majeurs pour les filles en Afrique.

En Afrique, et plus particulièrement en Afrique francophone, la plupart des enfants apprennent dans des environnements éducatifs multilingues.

Une réponse efficace à la COVID-19 nécessite un ensemble complexe de données probantes pertinentes présentées sous des formes conviviales pour soutenir la prise de décision concernant les réponses actuelles et futures.

Ce projet améliorera l’utilisation des données des enquêtes existantes sur les ménages par les fonctionnaires du gouvernement pour analyser le secteur de l’éducation et encourager les responsables des politiques à tirer parti des connaissances qui en résultent sur la sexospécificité, l’équité et l’inclusion pour éclairer leurs décisions stratégiques.

Le Partenariat mondial pour l’éducation (PME) et le CRDI ont lancé le programme Partage de connaissances et d’innovations (KIX), qui améliore les politiques et les pratiques visant à renforcer les systèmes d’éducation nationaux des pays partenaires du PME.

Plus de la moitié des habitants des plus grandes villes d’Afrique subsaharienne, et une proportion croissante d’Africains en général, vivent dans des établissements informels congestionnés (également appelés bidonvilles).

Le projet vise à renforcer les capacités d'analyse en économie en Afrique francophone avec un accent particulier sur la réduction de l'écart entre les sexes.

Les récentes éclosions du virus Ebola, hautement infectieux et dangereux, en Afrique occidentale et en Afrique centrale, soulignent l’importance d’une infrastructure de diagnostic et de surveillance rapides, de communications en matière de santé fondées sur les preuves et d’activités d’engagement communautaire, ainsi que d’une intervention d’urgence efficace et bien coordonnée pour renforcer la capacité de résistance des populations vulnérables face aux nouvelles menaces de pandémie.

L’enjeu urgent du chômage à vaste échelle chez les jeunes partout en Afrique et de la marginalisation économique qui résulte de nombreuses années de « croissance sans création d’emploi » est liée à des troubles civils et à une multitude de problèmes sociaux.

a mortalité néonatale et maternelle reste un défi majeur en Afrique subsaharienne.

Comme l’a confirmé l’OMS dans ses lignes directrices sur la communication du risque et l’engagement communautaire publiées pour les éclosions du virus Ebola pour 2018 en République démocratique du Congo (RDC), la recherche est une composante essentielle pour les mesures de contrôle des éclosions et les futures activités de préparation.

Le bassin du Congo détient environ 40 % des rejets d’eau en Afrique et est essentiel à la sécurité de l’eau à l’échelle continentale et locale.

L’éclosion du virus Ebola de 2014 à 2016 a tué des milliers de personnes en Guinée, au Liberia et en Sierra Leone et leur a occasionné une perte d’au moins 2 milliards de dollars en PIB.

L’éclosion de maladie à virus Ebola (MVE) de 2013 à 2015 en Afrique de l’Ouest (Guinée, Liberia et Sierra Leone) était sans précédent et a entraîné la mort de plus de 11 000 personnes, ce qui a engendré un coût total estimé à 4,3 milliards de dollars américains.

Ce projet vise à réduire le risque d’infection au virus Ebola et les répercussions de la maladie en République démocratique du Congo et dans d’autres pays et régions touchés par le virus.

La prévalence de « fausses nouvelles » dans le monde a connu une croissance fulgurante et inquiétante au cours des deux dernières années.

En Afrique, malgré son intérêt croissant pour la chose publique, la jeunesse (qui représente plus de 60% de la population) est souvent exclue de la gestion des affaires publiques et surtout des opportunités économiques; ceci est particulièrement vrai pour les jeunes femmes.

Ce projet aidera à promouvoir des mesures qui amélioreront l’accès des Africaines aux établissements de financement officiels.

Les organismes de développement nouveaux et émergents fournissent de l'aide à des pays aux prises avec des tensions et des défis après des périodes de conflits.